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Mosaïque
Certains territoire ne sont pas propices à l’écriture, en effet, le climat rend le papier beaucoup trop vulnérable. C’est donc à travers la transmission orale, gestuelle, que se perpétue des actes, des textes


Le vivant, partout
La forêt en milieu tropical humide regorge de vie. Celle-ci est le plus souvent perceptible par le bruit, et généralement de nuit. Chaque étage de la forêt regroupe des cortèges d’espèces spécialisées dans leur chasse, leur alimentation. Tailles, couleurs, te forme n’ont pas vraiment de limite, chacun est le fruit d’une longue adaptation pour survivre. Ainsi la microfaune, se cache souvent derrière une bout d’écorce, sous le revers d’une feuille, suspendu entre deux tiges ou bien une infractuosité dans le sol.  La forêt tropicale regorge de vie. Là où les forêt d’Europe sont silencieuse, et parfois désespérement vide, sous l’équateur, le foisonnement et le bruit sont de rigueur. En scrutant le sol, en fouillant sur les troncs, ou bien en observant le dessous des feuilles, il y a toujours de la vie, des couleurs, une silhouette incroyable à saisir. C’est donc l’envie de rendre beau, ce qui d’ordinaire à tendance à créer le dégout. Couleurs, lumières, formes sont souvent des atouts liés à des fonctions : manger, se déplacer, se reproduire. La diversité des réponses engendrées par la nature ferait rougir de jalousie n’importe quel ingénieur

Pause
Ambiances, paysages parfois rare sur le territoire de la Guyane. Il faut réussir à sortir la tête de la Canopée, aux dimensions improbables. Le reliefs étant constant mais d’une hauteur moindre, certaines “îles” permettent de prendre de la hauteur pour contempler humblement cet océan végétal. Imaginer le quantité d’organisme vivant dans cette immensité peu donner le tourni. Ces nobles montagnes souvent innaccessible se nomment “inselbergs”.
Les fleuves, les criques et autres espaces aquatiques sont également des endroits privilégiés pour s’accorder un temps, un moment afin de profiter, laisser notre regard se promener à l’horizon. Le cerveau respire, une fois sorti, même temporairement d’un espace confiné, ou le ciel n’est quasiment plus perceptible, ou la moiteur ambiante drape la moindre surface et ou le bruit brouille les sens.